C'est un événement autant attendu que le match. Alors que se tenait cette nuit la 54e édition du Super Bowl, marquée par une victoire des Chiefs de Kansas City, 50 ans après leur premier triomphe, les téléspectateurs du monde entier ont également pu assister au célèbre concert de mi-temps. Et après Maroon 5 en 2019, qui avait déçu la critique, ce sont deux stars de la pop qui ont cette fois été sollicitées pour assurer ce spectacle : Shakira d'un côté, Jennifer Lopez de l'autre.
Si elles n'ont jamais chanté en duo dans leur carrière, toutes deux étaient donc présentes au Hard Rock Stadium de Miami, en Floride. Et c'est Shakira qui a ouvert le show en entonnant son tube "She Wolf", avant de s'attaquer à "Empire", "Ojos Asi", "Whenever, Wherever", une reprise de "I Like It" de Cardi B en présence de Bad Bunny, "Chantaje" et "Hips Don't Lie". Le tout en dansant sur chacune des chansons avant que Jennifer Lopez ne fasse son apparition sur scène.
Un message à Donald Trump ?
La chanteuse a démarré sa partie avec le hit "Jenny from the Block" pour enchaîner sur "Ain't It Funny", "Get Right", "Waiting for Tonight" puis un medley de "Booty" et "Mi Gente" avec J. Balvin et, enfin, "On the Floor". Une fois cette deuxième partie terminée, c'est Emme Muñiz, la fille de Jennifer Lopez, qui est apparue dans une cage en lumière pour reprendre le titre "Let's Get Loud" de sa mère, que certains ont interprété comme une réponse à la politique de Donald Trump. D'autant plus lorsqu'Emme a rejoint sa mère sur scène, portant le drapeau portoricain. Shakira et Jennifer Lopez ont ensuite conclu leur mini-concert avec "Let's Get Loud" et "Waka Waka", dans un final hyper chorégraphié. puremedias.com vous propose de découvrir le show de mi-temps du Super Bowl.
