L'amour sera-t-il au rendez-vous ? Ce soir, M6 proposera à ses téléspectateurs de découvrir les portraits des sept derniers agriculteurs qui participeront à la treizième saison de "L'amour est dans le pré", son émission de dating agricole produite par FremantleMedia France. La semaine dernière, ce sont les sept premiers candidats qui ont été dévoilés. Ce soir, l'aventure commencera donc réellement pour les quatorze agriculteurs célibataires, qui pourront être joints par leurs admirateurs.
Thomas, deuxième agriculteur homosexuel à tenter sa chance
Âgés de 31 à 57 ans, tous espèrent inscrire leur nom dans la belle histoire de "L'amour est dans le pré". Depuis 2006, l'émission de dating a généré pas moins de 17 mariages et 50 bébés selon M6. De quoi offrir la perspective de connaître l'amour avec un grand A aux quatorze nouveaux participants. Ils sont ostréiculteurs, éleveurs de vaches ou de brebis, viennent de régions rurales et recevront tous, ce soir, la visite de Karine Le Marchand, bonne fée attitrée des agriculteurs de la Six.
Parmi les quatorze agriculteurs participants à cette saison 13, les téléspectateurs feront notamment la connaissance de Thomas, qui est le deuxième candidat homosexuel de l'émission. Interrogé par nos confrères du "Parisien", celui-ci explique que son but n'est pas de "représenter une minorité" mais simplement de trouver l'amour. Ce trentenaire ostréiculteur peine en effet à trouver l'amour depuis qu'il a repris les rênes de l'exploitation familiale dans le sud ouest de la France.
Un candidat ultramarin, une grande première
Cette saison recèle une autre originalité. Pour la première fois, l'émission accueille un agriculteur... ultramarin ! Il s'agit de Raoul, un éleveur de brebis et de taurillons âgés de 36 ans. Divorcé, père d'une petite fille de 9 ans et ex-fêtard, il vit à Saint-Pierre sur l'île de La Réunion depuis qu'il a repris la ferme familiale il y a treize ans. Karine Le Marchand, qui s'est rendue sur place pour rencontrer le candidat, explique dans "TV Mag" que ce dernier craint qu'"on lui écrive plus pour le dépaysement que pour lui".
